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novembre 19, 2025

Cryptocratie pouvoir caché, oligarchie qui agit dans l'ombre ! Histoire de JFK et de la Cabale

Cryptocratie

La cryptocratie désigne un pouvoir caché, une oligarchie qui agit dans l'ombre. La cryptocratie (terme d'emploi rare[ On le trouve employé (probablement pour la première fois) par Louis Pauwels et Jacques Bergier dans Le matin des magiciens, Gallimard, 1960.) peut désigner aussi bien les sociétés secrètes qui agissent dans l'ombre que le shadow government. On peut rapprocher le terme de celui d'État profond.  


« Le mot même de "secret" est répugnant à une société libre et ouverte ; et nous en tant que peuple sommes inhéremment et historiquement opposés aux sociétés secrètes, à leurs serments et à leurs activités. Nous décidâmes il y a longtemps déjà que les dangers d'une dissimulation excessive et illégitime des faits pertinents dépassaient largement les dangers que l'on cite pour les justifier. Même aujourd'hui, il y a peu de valeur à opposer la menace d'une société fermée en imitant ses restrictions arbitraires. Même aujourd'hui, il y a peu de valeur à assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elles. Et il y a un grave danger à ce que l'annonce du besoin d'une plus grande sécurité soit saisi par ceux qui brûlent d'étendre son sens jusqu'aux limites de la censure et de la dissimulation officielle. » 

J.-F. Kennedy, (discours du 27 avril 1961) 

 

 

Le Président et la presse : Discours devant l'Association américaine des éditeurs de journaux, 27 avril 1961

Président John F. Kennedy 
Hôtel Waldorf-Astoria, New York 27 avril 1961 
 
Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, 
 
Je vous remercie chaleureusement de votre aimable invitation à être parmi nous ce soir. 
 
Vous portez de lourdes responsabilités ces temps-ci, et un article que j'ai lu il y a quelque temps m'a rappelé combien les événements actuels pèsent particulièrement lourd sur votre profession. 
 
Vous vous souviendrez peut-être qu'en 1851, le New York Herald Tribune, sous l'égide et la direction d'Horace Greeley, employait comme correspondant à Londres un journaliste peu connu du nom de Karl Marx.
 
On raconte que Marx, correspondant à l'étranger, sans le sou et avec une famille malade et sous-alimentée, n'a cessé de supplier Greeley et le rédacteur en chef Charles Dana d'augmenter son généreux salaire de 5 dollars par versement, un salaire qu'il qualifiait avec Engels, avec une amertume ingrate, de « pire escroquerie petite-bourgeoise ». 
 
Mais face au refus de toutes ses demandes financières, Marx chercha d'autres moyens de subsistance et de reconnaissance, finissant par rompre son contrat avec le Tribune et consacrant tout son talent à la cause qui allait léguer au monde les germes du léninisme, du stalinisme, de la révolution et de la guerre froide. 
 
Si seulement ce journal new-yorkais capitaliste l'avait traité avec plus de bienveillance ; si seulement Marx était resté correspondant à l'étranger, l'histoire aurait pu être différente. Et j'espère que tous les éditeurs se souviendront de cette leçon la prochaine fois qu'ils recevront la demande désespérée d'un obscur journaliste, impuissant, pour une petite augmentation de ses frais. 
 
 J'ai choisi comme titre de mon intervention de ce soir : « Le Président et la presse ». Certains pourraient suggérer qu'une formulation plus naturelle serait « Le Président contre la presse ». Mais ce n'est pas mon avis ce soir. 
 
 Il est vrai, cependant, que lorsqu'un diplomate étranger de renom a récemment exigé que notre Département d'État désavoue certaines attaques de la presse contre son collègue, il était inutile de répondre que cette administration n'était pas responsable de la presse, car celle-ci avait déjà clairement indiqué qu'elle ne l'était pas.
 
Néanmoins, mon propos ce soir n'est pas de lancer l'attaque habituelle contre la presse dite « à parti unique ». Au contraire, ces derniers mois, j'ai rarement entendu de plaintes concernant un prétendu parti pris dans la presse, hormis de la part de quelques Républicains. 
 
Mon intention n'est pas non plus ce soir de discuter ou de défendre la retransmission télévisée des conférences de presse présidentielles. Je pense qu'il est tout à fait bénéfique que quelque 20 millions d'Américains assistent régulièrement à ces conférences pour observer, si je puis dire, la perspicacité, l'intelligence et la courtoisie dont font preuve vos correspondants à Washington. Enfin, ces remarques ne visent pas à examiner le degré de vie privée que la presse devrait accorder au Président et à sa famille. 
 
Si, ces derniers mois, vos journalistes et photographes de la Maison Blanche ont assisté régulièrement à des offices religieux, cela ne leur a certainement pas nui. Par ailleurs, je comprends que vos collaborateurs et photographes d'agences de presse se plaignent peut-être de ne plus bénéficier des mêmes privilèges sur les terrains de golf locaux qu'auparavant. 
 
 Il est vrai que mon prédécesseur ne s'opposait pas, contrairement à moi, à la publication de photos illustrant le talent d'un golfeur en action. Mais, d'un autre côté, il n'a jamais non plus visé un agent des services secrets avec une balle dans la tête. 
 
Le sujet que j'aborderai ce soir est plus grave et concerne autant les éditeurs que les rédacteurs en chef. Je souhaite parler de nos responsabilités communes face à un danger commun. Les événements de ces dernières semaines ont peut-être permis à certains de prendre conscience de ce défi ; mais l'ampleur de cette menace se profile à l'horizon depuis de nombreuses années.  
 
Quels que soient nos espoirs pour l'avenir – réduire cette menace ou apprendre à vivre avec –, il est impossible d'ignorer la gravité et l'étendue du défi qu'elle représente pour notre survie et notre sécurité – un défi qui nous confronte de manière inédite dans tous les domaines de l'activité humaine.
 
Ce défi mortel impose à notre société deux exigences qui concernent directement la presse et le Président – ​​deux exigences qui peuvent sembler presque contradictoires, mais qu'il nous faut concilier et satisfaire si nous voulons faire face à ce péril national. Je fais référence, premièrement, à la nécessité d'une information publique bien plus importante ; et, deuxièmement, à la nécessité d'un secret d'État bien plus strict. 
 
I
 
Le mot même de « secret » est répugnant dans une société libre et ouverte ; et nous sommes, en tant que peuple, intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes. Nous avons décidé depuis longtemps que les dangers d'une dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents l'emportaient de loin sur les dangers invoqués pour la justifier. Aujourd'hui encore, il est vain de s'opposer à la menace d'une société fermée en imitant ses restrictions arbitraires. Aujourd'hui encore, il est vain d'assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle. Il existe un risque très grave que le besoin annoncé de renforcer la sécurité soit exploité par ceux qui cherchent à en étendre la portée jusqu'aux limites de la censure et de la dissimulation officielles. Je n'entends pas le permettre, dans la mesure où cela dépend de moi. Aucun membre de mon administration, quel que soit son rang, civil ou militaire, ne doit interpréter mes propos de ce soir comme un prétexte pour censurer l'information, étouffer la dissidence, dissimuler nos erreurs ou cacher à la presse et au public les faits qu'ils ont le droit de connaître. 
 
 J'invite néanmoins chaque éditeur, chaque rédacteur en chef et chaque journaliste du pays à réexaminer ses propres critères et à prendre conscience de la gravité du péril qui menace notre nation. En temps de guerre, le gouvernement et la presse ont toujours collaboré, en s'appuyant largement sur l'autodiscipline, pour empêcher toute divulgation non autorisée à l'ennemi. En cas de « danger clair et imminent », les tribunaux ont statué que même les droits privilégiés du Premier Amendement doivent céder le pas à l'impératif de sécurité nationale.
 
Aujourd'hui, aucune guerre n'a été déclarée – et aussi féroce que soit le conflit, il est possible qu'il ne le soit jamais de façon traditionnelle. Notre mode de vie est menacé. Ceux qui se sont érigés en ennemis progressent à travers le monde. La survie de nos alliés est en danger. Et pourtant, aucune guerre n'a été déclarée, aucune frontière n'a été franchie par des troupes en marche, aucun missile n'a été tiré. 
 
 Si la presse attend une déclaration de guerre avant d'imposer la discipline du combat, alors je ne peux que constater qu'aucune guerre n'a jamais représenté une menace plus grande pour notre sécurité. Si vous attendez la constatation d'un « danger clair et présent », alors je ne peux que constater que le danger n'a jamais été aussi évident et sa présence jamais aussi imminente. 
 
 Cela exige un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de mission – de la part du gouvernement, du peuple, de chaque chef d'entreprise ou responsable syndical, et de chaque journal. Car nous sommes confrontés, à travers le monde, à une conspiration monolithique et impitoyable qui s'appuie principalement sur des moyens clandestins pour étendre son influence : l'infiltration plutôt que l'invasion, la subversion plutôt que les élections, l'intimidation plutôt que le libre choix, la guérilla nocturne plutôt que les armées diurnes. Ce système a mobilisé d'immenses ressources humaines et matérielles pour bâtir une machine inextricablement liée et d'une redoutable efficacité, combinant opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques. 
 
Ses préparatifs sont dissimulés, non publiés. Ses erreurs sont étouffées, non mises en avant. Ses dissidents sont réduits au silence, non encensés. Aucune dépense n'est remise en question, aucune rumeur n'est diffusée, aucun secret n'est révélé. En somme, il mène la Guerre froide avec une discipline de guerre qu'aucune démocratie ne saurait égaler.
 
Néanmoins, toute démocratie reconnaît les contraintes nécessaires à la sécurité nationale – et la question demeure de savoir si ces contraintes doivent être observées avec plus de rigueur si nous voulons nous opposer à ce type d'attaque, ainsi qu'à une invasion pure et simple. 
 
Car les faits sont les suivants : les ennemis de notre nation se sont ouvertement vantés d'avoir obtenu, par le biais de nos journaux, des informations qu'ils auraient autrement obtenues par des agents, par le vol, la corruption ou l'espionnage ; les détails des préparatifs secrets de notre nation pour contrer les opérations secrètes de l'ennemi ont été accessibles à tous les lecteurs de journaux, amis comme ennemis ; la taille, la puissance, l'emplacement et la nature de nos forces et de nos armements, ainsi que nos plans et notre stratégie quant à leur utilisation, ont tous été divulgués dans la presse et d'autres médias avec une précision suffisante pour satisfaire n'importe quelle puissance étrangère ; et, dans au moins un cas, la publication de détails concernant un mécanisme secret de suivi des satellites a nécessité sa modification, au prix de dépenses et de temps considérables. 
 
 Les journaux qui ont publié ces articles étaient loyaux, patriotiques, responsables et bien intentionnés. Si nous avions été en guerre ouverte, ils n'auraient sans doute pas publié de tels articles. Mais en l'absence de guerre ouverte, ils n'ont tenu compte que des exigences journalistiques et non de celles de la sécurité nationale. Ma question ce soir est donc de savoir s'il ne faudrait pas adopter des critères supplémentaires. 
 
 Il vous appartient de répondre à cette question. Aucun responsable public ne devrait y répondre à votre place. Aucun plan gouvernemental ne devrait vous imposer de contraintes contre votre gré. Mais je manquerais à mon devoir envers la nation, compte tenu de toutes les responsabilités qui nous incombent et des moyens dont nous disposons pour les assumer, si je ne portais pas ce problème à votre attention et ne vous encourageais pas à l'examiner attentivement.
 
À maintes reprises, j'ai affirmé – et vos journaux l'ont constamment répété – que nous vivons une période qui fait appel au sens du sacrifice et à la discipline de chaque citoyen. Elle appelle chacun à mettre en balance ses droits et son confort et ses devoirs envers le bien commun. Je ne peux croire aujourd'hui que les citoyens qui travaillent dans la presse se croient exemptés de cet appel. 
 
Je n'ai aucune intention de créer un nouvel Office de l'information de guerre pour contrôler la diffusion de l'information. Je ne propose aucune nouvelle forme de censure ni aucun nouveau système de classification de sécurité. Je n'ai pas de solution miracle au dilemme que j'ai soulevé, et je ne chercherais pas à l'imposer même si j'en avais une. Mais j'invite les journalistes et l'ensemble du secteur de la presse de ce pays à réexaminer leurs responsabilités, à prendre en compte l'ampleur et la nature du danger actuel, et à respecter le devoir de retenue que ce danger nous impose à tous. 
 
Désormais, chaque journal se pose la question suivante pour chaque article : « Est-ce une information ? » Je suggère simplement d'ajouter la question : « Est-ce dans l'intérêt de la sécurité nationale ?» J'espère que chaque groupe en Amérique – syndicats, entreprises et responsables politiques à tous les niveaux – se posera la même question quant à ses entreprises et soumettra ses actions aux mêmes critères rigoureux. 
 
Et si la presse américaine envisageait et recommandait l'adoption volontaire de nouvelles mesures ou de nouveaux mécanismes, je vous assure que nous coopérerons pleinement à ces recommandations. 
 
Peut-être n'y aura-t-il aucune recommandation. Peut-être n'y a-t-il pas de réponse au dilemme auquel est confrontée une société libre et ouverte dans une guerre froide et secrète. En temps de paix, toute discussion sur ce sujet, et toute action qui en découle, sont à la fois douloureuses et sans précédent. Mais nous vivons une période de paix et de péril sans précédent dans l'histoire. 
 
II

C’est le caractère inédit de ce défi qui vous impose également une seconde obligation, que je partage. Il s’agit de notre obligation d’informer et d’alerter le peuple américain, de veiller à ce qu’il dispose de tous les faits nécessaires et qu’il les comprenne : les dangers, les perspectives, les objectifs de notre programme et les choix qui s’offrent à nous. 
 
Aucun président ne devrait craindre l’examen public de son programme. Car de cet examen naît la compréhension, et de cette compréhension naît le soutien ou l’opposition. Les deux sont nécessaires. Je ne demande pas à vos journaux de soutenir l’Administration, mais je sollicite votre aide dans l’immense tâche d’informer et d’alerter le peuple américain. Car j’ai pleinement confiance dans la réaction et le dévouement de nos citoyens lorsqu’ils sont pleinement informés. 
 
Non seulement je ne saurais étouffer la controverse parmi vos lecteurs, mais je l’accueille favorablement. Cette Administration entend faire preuve de transparence quant à ses erreurs ; car, comme l’a dit un sage : « Une erreur ne devient une faute que lorsqu’on refuse de la corriger. » Nous entendons assumer l’entière responsabilité de nos erreurs et nous comptons sur vous pour nous les signaler lorsque nous les omettons. 
 
Sans débat, sans critique, aucune administration, aucun pays ne peut réussir, et aucune république ne peut survivre. C'est pourquoi le législateur athénien Solon a décrété que se dérober à la controverse était un crime pour tout citoyen. C'est aussi pourquoi notre presse a été protégée par le Premier Amendement – ​​la seule activité aux États-Unis spécifiquement protégée par la Constitution – non pas pour amuser et divertir, ni pour mettre l'accent sur le futile et le sentimental, ni pour simplement « donner au public ce qu'il veut », mais pour informer, éveiller les consciences, faire réfléchir, exposer nos dangers et nos opportunités, exposer nos crises et nos choix, guider, influencer, éduquer et parfois même indigner l'opinion publique. 
 
Cela implique une couverture et une analyse plus approfondies de l'actualité internationale, car elle n'est plus lointaine et étrangère, mais proche et locale. Cela implique une plus grande attention portée à une meilleure compréhension de l'information ainsi qu'à une meilleure diffusion. Et cela signifie, enfin, que le gouvernement, à tous les niveaux, doit remplir son obligation de vous fournir l'information la plus complète possible, en dehors des limites strictes de la sécurité nationale – et nous avons l'intention de le faire.
 
III 
 
Au début du XVIIe siècle, Francis Bacon remarquait que trois inventions récentes transformaient déjà le monde : la boussole, la poudre à canon et l'imprimerie. Aujourd'hui, les liens entre les nations, forgés d'abord par la boussole, font de nous tous des citoyens du monde, les espoirs et les menaces de l'un devenant les espoirs et les menaces de tous. Dans les efforts de ce monde unique pour vivre ensemble, l'évolution de la poudre à canon jusqu'à ses limites ultimes a averti l'humanité des terribles conséquences de l'échec. 
 
C'est donc vers l'imprimerie – témoin des actes de l'homme, gardienne de sa conscience, messagère de ses nouvelles – que nous nous tournons pour trouver force et aide, confiants qu'avec son concours, l'homme deviendra ce qu'il est né pour être : libre et indépendant.
 
President John F. Kennedy
 

La Cabale : un cartel ploutocratique secret déterminé à dominer l'humanité.
 
Le terme « Cabale » désigne un groupe secret d'oligarques immensément riches et puissants, ainsi que leurs subalternes, qui contrôlent les organisations gouvernementales, financières, politiques, médiatiques, culturelles et religieuses à l'échelle mondiale afin d'assurer la prospérité et le maintien du pouvoir de la Cabale, et de contraindre tous les autres à se soumettre ou à être neutralisés. 
 
 Ce groupe est composé de sociopathes égoïstes et mégalomanes. Ils se prennent pour les maîtres de l'univers, mais sont en réalité des sous-hommes. 
 
 La Cabale fonctionne comme une sorte de gouvernement parallèle aux gouvernements officiels élus et nommés du monde. C'est un gouvernement de l'ombre obscur. 
 
Bien que certains pontes de la Cabale soient membres du Groupe Bilderberg, du Council on Foreign Relations et de la Commission trilatérale, ces instances internationales de décision politique ne sont pas synonymes de la Cabale. On trouve également des personnes bien intentionnées au sein du Groupe Bilderberg, du Council on Foreign Relations et de la Commission trilatérale, mais elles ne servent que de façade aux membres de la Cabale qui contrôlent l'agenda et l'orientation de ces comités internationaux.  La Cabale domine la société humaine depuis 14 000 ans, tantôt ouvertement, tantôt discrètement. 
 
La Cabale a vu le jour à l'époque de la civilisation de l'Atlantide, une civilisation où la plupart des habitants étaient des gens fondamentalement honnêtes, aspirant à vivre en paix et en harmonie avec la nature. Mais au sein de cette société, un groupe de scientifiques aspirait à abuser de sa supériorité technologique pour asseoir son pouvoir. Ces premiers membres de la Cabale travaillaient avec une technologie de pointe comparable à celle des grandes puissances industrielles actuelles. Cette technologie était le fruit de l'utilisation et de l'accumulation des connaissances scientifiques acquises lors de visites extraterrestres. Ces scientifiques, ivres de pouvoir, comprirent qu'ils pouvaient utiliser cette technologie émergente pour asseoir leur domination, s'enrichir et asseoir leur contrôle sur autrui. Ils formèrent une caste de grands prêtres scientifiques et technocrates qui prirent le contrôle politique de la société atlante. La plupart des Atlantes, quant à eux, aspiraient simplement à vivre en paix et ne les contestèrent pas.
 
Ces scientifiques technocrates de la Cabale, véritables grands prêtres, utilisèrent leurs technologies émergentes pour modifier génétiquement leurs génomes et en faire des « surhommes ». Ces caractéristiques étaient : une aptitude technologique hors du commun, une compétitivité exacerbée, une ambition démesurée, une hyperagressivité, une soif de domination, une cruauté sans bornes et un appétit insatiable pour le plaisir, allant jusqu'à la pédophilie. Parallèlement, les bio-ingénieurs de la Cabale éliminèrent par sélection les qualités qu'ils jugeaient faibles et indésirables : l'empathie, l'humilité, la simplicité, la générosité, la bonté, la compassion, la spiritualité et le respect de la nature. Ces premiers technocrates de la Cabale réussirent avec un succès trop important. Ils engendrèrent une lignée d'individus si hyper-matérialistes, si agressifs, si avides, si cupides, si dominateurs, si impitoyables et si accros au plaisir que les extraterrestres visiteurs furent horrifiés et qualifièrent leur patrimoine génétique de « sous-humain ». D'ailleurs, les membres de la Cabale ressemblent à des humains ordinaires, mais leur comportement obscur les identifie rapidement comme d'horribles mutants déviants et des monstres. 
 
 La Cabale a fini par développer ses armes énergétiques de pointe jusqu'à un niveau de puissance incontrôlable, provoquant la destruction du continent d'Atlantis et l'engloutissement du continent voisin de Lémurie. Après la disparition des continents d'Atlantis et de Lémurie, les survivants humains et cabaux ont migré vers les continents restants et ont recommencé leur histoire à un niveau de développement inférieur. Les survivants cabaux se sont unis, s'emparant rapidement des rôles de chaman-prêtre et de dirigeant, et reprenant leur marche vers la domination. 
 
La Cabale existe depuis des millénaires sous diverses incarnations. Ses membres sont souvent apparus comme des chamans du côté obscur, des sorciers ou des guérisseurs, puis plus tard comme membres de sociétés secrètes, de guildes de prêtres ou de groupes d'élite métaphysiques tels que les cercles secrets des francs-maçons et des Illuminati. Les membres de la Cabale au sein de ces groupes utilisent leurs pouvoirs psychiques obscurs accrus, tels que la projection psychique, les hallucinations provoquées et l'insertion de rêves, etc. Ils s'en servent pour intimider, influencer et contrôler les humains ciblés.
 
D'où la Cabale a-t-elle tiré son savoir ésotérique pour asseoir sa domination ? Ce savoir englobe les questions spirituelles, les capacités psychiques, ce que nous appelons aujourd'hui la psychologie, la politique, et la pratique d'un mysticisme théâtral, voire de la magie, en particulier les arts occultes. Pour les humains primitifs, ceux qui pratiquaient ces dons avancés apparaissaient comme des dieux, ou du moins comme des personnes dignes de les gouverner. Afin de consolider sa domination, la Cabale a éliminé toute opposition en prétendant que les humains dotés de capacités psychiques naturelles étaient des sorcières, des démons ou des êtres contre nature. Sans aucune concurrence, le terrain était libre pour la domination de la Cabale. 
 
La Cabale a accru son pouvoir au fil des générations en choisissant consciemment de se réincarner dans des personnalités nouvelles et égocentriques. Elle a continué de fréquenter d'autres praticiens des arts occultes, abusant de leurs capacités extrasensorielles accrues pour manipuler, contrôler et accroître leur pouvoir. À mesure que leur pouvoir s'est accru de génération en génération, leurs capacités surpassent souvent celles de la plupart des personnes possédant des dons psychiques naturels et fortuits. 
 
De plus, la Cabale a éliminé la concurrence au fil des siècles en identifiant les humains ordinaires dotés de capacités psychiques (grâce à leurs informateurs sur les réseaux sociaux ou en détectant à distance ces médiums naturels), puis en les qualifiant de sorcières, sorciers, guérisseurs vaudous, hérétiques, adorateurs du diable ou démons déguisés, etc., afin que les gouvernements les emprisonnent ou qu'une population paniquée les exécute. 
 
 Ainsi, la voie est libre pour que les praticiens de la magie noire de la Cabale soient les seuls à pouvoir agir à leur guise. 
 
Bien sûr, ils font tout cela dans l'ombre, entretenant l'illusion qu'un groupe comme la Cabale n'existe pas réellement et que quiconque prétend le contraire est un complotiste. Des ouvrages comme « Rule By Secrecy » de Jim Marrs ou « Morning of the Magicians » de Louis Pauwels et Jacques Bergier retracent l'histoire intimement liée à la magie, aux sociétés secrètes et à la lutte pour le pouvoir à travers les siècles. Comprendre le mode opératoire de la Cabale est essentiel pour parvenir à une vision plus juste et novatrice de l'histoire et des causes de cette situation dramatique. C'est aussi la clé pour briser son emprise.
 
Les Visiteurs Stellaires affirment désormais que les membres de la Cabale ne font plus partie de la même espèce que les Humains (Homo sapiens sapiens) ! Leur gouvernement, les Nations Stellaires, refuse tout contact avec ces mutants sous-humains. Les Nations Stellaires ont informé le Dr Boylan qu'il incombe aux Humains d'éradiquer la Cabale de la société et de mettre fin à son influence. Elles indiquent que la Cabale ne possède aucun droit humain, puisqu'elle n'est pas humaine. Considérant la Cabale comme un danger clair et présent pour la société humaine, et lui causant des dommages, elle doit être traitée avec la plus grande fermeté afin de la priver de sa capacité à manipuler, tromper et opprimer les Humains, y compris par l'exil et l'emprisonnement forcés.  
 
La Cabale doit être considérée comme une menace enragée et traitée en conséquence. Il est possible de discerner certains des plus hauts dirigeants mondiaux de la Cabale grâce à leurs profils comportementaux : un égocentrisme extrême (souvent dissimulé derrière des œuvres caritatives symboliques), des fortunes colossales, une ingérence politique de haut niveau, une soif de pouvoir à l’échelle mondiale, une cruauté sans bornes et une aura énergétique négative. Il est tentant d’identifier certains oligarques sociopathes, dictateurs, membres de familles royales, magnats des médias et milliardaires pédophiles influents comme correspondant parfaitement au profil de la Cabale. La Cabale est composée non seulement de ses dirigeants, mais aussi de centaines de milliers d’intermédiaires et d’agents de base qui constituent le reste du réseau maléfique. Tous ces niveaux agissent en synergie, utilisant le pouvoir financier, politique, médiatique et culturel pour dominer, exploiter et s’en prendre aux humains ordinaires, souvent de manière subtile et dissimulée. 
 
 La Cabale est également le groupe occulte qui soutient la dissimulation des OVNI. Craignant la visite d’extraterrestres susceptibles de les démasquer, ils veulent instiller la peur des visiteurs des étoiles parmi les humains. L'ONU dispose d'un comité clandestin, le Comité MJ-12, au sein de son Conseil de sécurité, qui contrôle l'accès mondial aux informations et technologies relatives aux OVNI. La Cabale veille à ce que la moitié des membres de ce comité soient secrètement des individus appartenant à la Cabale, afin de contrôler les informations diffusées au public. 
 
 Disposant d'une immense fortune internationale, la Cabale a les moyens financiers et l'influence nécessaires pour que la plupart des représentations d'OVNI diffusées au public soient empreintes de négativité. Leur raisonnement est le suivant : s'ils ne parviennent pas à vous faire croire que les OVNI n'existent pas, leur stratégie de repli consiste à vous convaincre que leurs occupants sont de maléfiques envahisseurs. Ainsi, les films et les séries télévisées qu'ils financent et promeuvent présentent les Visiteurs des Étoiles comme des envahisseurs, des tortionnaires, des maraudeurs et des monstres. Une quantité massive de désinformation est diffusée à leur sujet. Et pour semer encore plus la confusion, la Cabale utilise des distorsions d'anciennes légendes sur des créatures terrifiantes pour créer de fausses histoires, comme par exemple : « Des Reptiliens maléfiques errent sur Terre et menacent l'humanité depuis des siècles ». La Cabale est responsable de la destruction des OVNI et du pillage de leurs technologies de pointe, qu'elle reproduit ensuite pour en tirer d'énormes profits. Ce programme est totalement étranger au programme secret du Comité MJ-12 du Conseil de sécurité de l'ONU, qui vise à diffuser progressivement des informations sur les OVNI au public.
 
La Cabale est également à l'origine du programme d'enlèvements extraterrestres, une opération secrète de guerre psychologique menée par des mercenaires de la Cabale qui kidnappent des civils sans autorisation légale. Ces hommes de main droguent leurs victimes (souvent des personnes ayant déjà vécu des rencontres rapprochées), puis les intimident, les interrogent, les maltraitent physiquement et vont jusqu'à les violer en réunion. Ils utilisent ensuite des hypnotiques et des techniques de lavage de cerveau pour leur faire croire qu'ils sont victimes d'extraterrestres. 
 
Voilà le niveau de malveillance, de manipulation et de trahison auquel la Cabale se livre pour protéger son monopole sur la technologie extraterrestre de pointe récupérée sur des OVNI accidentés : un monopole qui a rapporté des milliards de dollars de profits à ses entreprises au cours des sept dernières décennies. 
 
Les agents de la Cabale terrorisent également certains chercheurs en ufologie qui s'approchent trop près, allant jusqu'à en blesser ou assassiner certains, maquillant les faits en accidents ou suicides. La Cabale a mis au point des dispositifs psychotroniques de pointe et les a militarisés pour les utiliser contre ses ennemis ou sur des civils innocents, afin de contrôler à distance leurs perceptions visuelles, auditives et sensorielles, et de leur infliger douleur et paralysie musculaire. Ainsi, la Cabale peut attaquer qui bon lui semble sans craindre d'être découverte. 
 
Certains voyants ont perçu que le pouvoir de la Cabale commencera à s'effriter au début du XXIe siècle. La Cabale sera définitivement reléguée aux oubliettes de l'histoire lorsque s'opérera la transition de la société terrestre corrompue actuelle vers une nouvelle société mondiale : une société cosmique, juste, non matérialiste, pacifique, respectueuse de la Terre et fonctionnant comme une grande famille. 
 
Richard Boylan, Ph.D., 
Conseiller www.drboylan.com

 

 

 

 
 

  

septembre 12, 2025

Juan Branco démolit l’oligarchie française - L'empire médiatique !

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Dans une conférence captivante donnée à Lausanne et diffusée sur YouTube le 31 août 2025, l’avocat et intellectuel français Juan Branco, figure controversée connue pour ses enquêtes sur les élites et son best-seller Crépuscule (qui dénonçait les liens entre Emmanuel Macron et les puissances d’argent), a livré une charge explosive contre ce qu’il qualifie d’oligarchie en France. Intitulée « Juan Branco démolit 6 milliardaires – démonstration d’une oligarchie », cette intervention, vue plus de 120.000 fois en quelques jours, expose un système circulaire où la fortune, le contrôle médiatique et les faveurs de l’État s’entrelacent pour perpétuer une domination économique et politique au détriment des citoyens. Branco, qui a souvent été au cœur de polémiques pour ses positions très marquées notamment son rôle dans l’affaire Assange ou ses critiques du pouvoir macronien,

utilise des exemples concrets pour démontrer comment une poignée de milliardaires accaparent les ressources publiques, influencent l’information et sapent les fondements démocratiques de la République.

Cette conférence s’inscrit dans un contexte de tensions sociales croissantes en France, où les inégalités explosent et où le débat sur la concentration des médias fait rage.

Selon Branco, la France n’est pas une démocratie véritable, mais un régime oligarchique où l’État sert de tremplin à des fortunes privées.

Il s’appuie sur des cas emblématiques pour illustrer ce « cercle vicieux » : des individus accumulent des richesses grâce à des concessions publiques, investissent dans les médias pour protéger leurs intérêts, et influencent les politiques pour obtenir davantage de privilèges. « Elles sont rares en France aujourd’hui les fortunes qui ne viennent pas directement ou indirectement de l’État« , martèle-t-il, pointant du doigt des secteurs comme les télécoms ou la logistique, autrefois services publics, transformés en rentes privées.


Qu’est-ce que l’oligarchie française selon Branco ?

Branco définit l’oligarchie comme un système où une élite restreinte utilise sa fortune pour acquérir des « instruments de propagande » – les organes de presse – afin d’influencer les décideurs politiques. Ces derniers, en retour, accordent des accès privilégiés à des ressources étatiques, permettant une accumulation exponentielle de richesse. « C’est un système circulaire dans lequel vous devenez riche en achetant votre influence auprès des dirigeants qui eux-mêmes ont une autorité sur l’État », explique-t-il. Ce mécanisme repose sur l’oligopole : dans des secteurs essentiels comme les télécoms, limités à trois ou quatre acteurs, les profits sont garantis par une entente implicite, au détriment des consommateurs. Branco rappelle que ces marchés étaient autrefois des monopoles publics, ouverts à la concurrence pour des « raisons idéologiques et de corruption ».

Le contrôle de l’information est central : dans un système représentatif, le vote des citoyens n’a de valeur que s’il est informé.

En monopolisant les médias, les oligarques fabriquent un consensus idéologique, privant les électeurs de leur pouvoir.

Branco cite des exemples où les médias, subventionnés par l’État et détenus par ces milliardaires, deviennent des outils de manipulation. « Si on arrive à vous faire croire qu’un individu a toutes les qualités du monde alors qu’il n’en a aucune, on vous retire le pouvoir qui est le vôtre », affirme-t-il. Cette analyse résonne avec des débats actuels sur la concentration médiatique en France, où 90 % des quotidiens nationaux appartiennent à une dizaine de milliardaires.

Les six milliardaires au cœur de la critique

Branco cible six figures emblématiques, dont les empires reposent sur des faveurs étatiques et se protègent via un empire médiatique. Chacun illustre un aspect du système oligarchique.

  1. Xavier Niel : Fondateur de Free et Iliad, Niel est présenté comme un archétype de l’oligarque des télécoms. Sa fortune, estimée à plus de 10 milliards d’euros, provient de l’ouverture du marché des télécoms en 2012, sous Nicolas Sarkozy, qui a permis à Free d’entrer dans un oligopole de quatre opérateurs. Branco accuse Niel d’avoir investi dans les médias pour neutraliser les critiques : il détient des parts dans Le Monde, L’Obs, Le Huffington Post, Brut, Mediapart et d’autres. « Xavier Niel, comme il a dit lui-même, achète des canards pour qu’ils arrêtent de l’emmerder », cite Branco. Un anecdote révélatrice : une enquête timide de Mediapart sur Niel a provoqué un appel injurieux à Édwy Plenel, rappelant son investissement. Niel utilise ces médias pour éviter les investigations sur ses affaires, tout en influençant l’opinion publique.
  2. Patrick Drahi : Propriétaire d’Altice (incluant SFR), Drahi incarne la dette comme outil de conquête. Sa fortune de 8 milliards d’euros repose sur l’acquisition de SFR en 2014, autorisée par Emmanuel Macron (alors à l’Élysée) en échange d’achats médiatiques comme Libération, L’Express, BFM et RMC. Branco dénonce les 2.100 licenciements pour rembourser une dette colossale de 50 milliards d’euros, contractée auprès de banques comme Goldman Sachs. Ces médias, autrefois progressistes, sont devenus des « torchons propagandistes » pro-Macron, pillant leur réputation historique. Drahi a dû vendre des actifs récemment pour éponger ses dettes, illustrant la fragilité de ces empires.
  3. Martin Bouygues : Héritier du groupe Bouygues (télécoms et construction), sa richesse (environ 4 milliards d’euros) découle de concessions publiques. Branco raconte comment Sarkozy, témoin de son mariage, lui a octroyé le chantier du Tribunal de Paris (plusieurs milliards d’euros) pour compenser l’entrée de Free sur le marché, réduisant les profits de Bouygues Telecom. Il contrôle TF1 et TMC, influençant des millions via des émissions comme Quotidien, qui, sous couvert de divertissement, propagent une idéologie favorable aux élites.
  4. Bernard Arnault : L’homme le plus riche du monde (fortune de 200 milliards d’euros), PDG de LVMH, a bâti son empire grâce à Laurent Fabius, qui lui a cédé le groupe Boussac (incluant Dior) pour une mise dérisoire en 1984. Branco critique ses médias (Le Parisien, Les Échos, Radio Classique, Paris Match) et ses recrutements politiques : Nicolas Bazire (ex-Sarkozy) ou Christophe Girard (ex-Fabius), propulsé à la Mairie de Paris pour favoriser LVMH. Les JO 2024 illustrent cela : les malles Louis Vuitton pour les médailles, au détriment d’autres sponsors, montrent comment Arnault « vole l’image de Paris » pour son groupe.
  5. Arnaud Lagardère : Héritier d’un empire dilapidé (fortune résiduelle de 2 milliards d’euros), Lagardère a vendu des actifs à Arnault. Juan Branco le décrit comme incompétent, ayant gaspillé un patrimoine incluant Airbus, pour finir « débranché doucement » par ses pairs, symbolisant la fin d’une génération d’oligarques.
  6. Daniel Kretinsky et Rodolphe Saadé : Kretinsky, un milliardaire tchèque (fortune de 9 milliards d’euros), enrichi par des usines à charbon, a racheté des médias comme Elle et Marianne via des failles réglementaires. Saadé, de CMA CGM (logistique portuaire, fortune familiale de 50 milliards d’euros post-Covid), a profité de l’explosion des prix du transport. Branco révèle que CMA CGM était un bien public vendu par Chirac à la famille Saadé pour 20 millions de francs après un investissement étatique d’un milliard. Ces « nouveaux » oligarques comblent les vides laissés par Drahi.

Les implications pour la démocratie et la société française

Branco argue que ce système n’offre pas d’alternance réelle : gauche et droite s’entendent pour préserver l’oligarchie, privant les citoyens d’une presse indépendante. Les médias, non rentables sans subventions ou injections milliardaires, deviennent des outils de pouvoir plutôt que d’information. « Tous ces projets sont non rentables et seraient en faillite s’il n’était pas régulièrement abondé par ces milliardaires », ironise-t-il. Cela crée une « prédation organisée » : les profits des oligarques proviennent des « efforts et sacrifices » de la population, via des services essentiels devenus rentes privées. Branco lie cela à la crise des classes moyennes, où l’inconfort économique grandit face à cette concentration de richesse.

Cette analyse fait écho à des débats plus larges : en 2025, la France fait face à des enquêtes sur la concentration médiatique, avec des appels à réguler les subventions publiques (plus de 1 milliard d’euros annuels aux médias). Des figures comme Branco amplifient ces voix, influençant des mouvements comme les Gilets Jaunes ou les critiques post-JO.


 

Un appel à la conscience collective

La conférence de Branco n’est pas qu’une dénonciation ; c’est un appel à démanteler ce système.

En exposant les liens entre État, fortune et médias, il invite à repenser la démocratie française.

« C’est là où le point est fondamental pour définir ce qui est une oligarchie : c’est un espace où il n’y a pas d’alternative réelle », conclut-il. Avec des reprises sur des plateformes comme Odysee et Facebook, cette intervention gagne en visibilité, défiant les récits dominants. Reste à voir si elle inspirera des réformes, ou si l’oligarchie, comme Branco le prédit, continuera à s’auto-perpétuer.

 https://multipol360.com/juan-branco-demolit-loligarchie-francaise/

 

septembre 07, 2025

Les "djeunes" et l'armée française; chair à canon ??

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L’engagement des jeunes dans l’armée française aujourd’hui : une fausse bonne idée ?


L’Armée de terre française lance un appel massif au recrutement : 16.000 soldats par an, comme le rapporte un récent article de France 3 Régions, couvrant une cérémonie à Bayonne où quarante jeunes Basques et Béarnais, âgés de 18 à 24 ans, ont signé des contrats d’engagement. L’article dépeint cette démarche comme une opportunité exaltante, un « rêve d’enfant » pour des recrues motivées par l’aventure, la protection du pays et un sens à leur vie. Des citations émouvantes soulignent les valeurs de fraternité, d’exigence et de dépassement de soi, avec des profils variés – diplômés ou non – accédant à des formations prestigieuses, comme devenir pilote d’hélicoptère via l’académie de Saint-Cyr.

Pourtant, derrière cette vitrine séduisante, une ombre plane : l’engagement militaire aujourd’hui, sous un gouvernement  asservi aux intérêts de l’Union européenne (UE) et de l’OTAN, pourrait transformer ces jeunes en chair à canon pour des causes étrangères et plus que douteuses.

S’engager dans l’armée est une décision noble en soi, mais pas lorsqu’elle sert un pouvoir corrompu qui priorise les agendas géopolitiques sur la défense du peuple français.

                                                     Un déguisement pour la parade de Noël

 Une armée pour défendre le peuple, pas pour des guerres politico-financières

Historiquement, l’armée française est conçue pour protéger la nation et ses citoyens, pas pour mener des offensives impérialistes ou servir de bras armé à des alliances supranationales. L’article de France 3 évoque les risques, y compris « celui de perdre votre vie », comme l’affirme Michèle Alliot-Marie, ancienne ministre de la Défense, en soulignant un « monde incertain et dangereux » marqué par des crises et des transformations technologiques guerrières. Mais ces risques sont-ils justifiés lorsque les missions actuelles semblent dictées par des intérêts politico-financiers ? Sous Emmanuel Macron, la France s’implique dans des conflits comme celui en Ukraine, où des troupes françaises sont envoyées sans mandat clair, servant potentiellement de pions dans une guerre par procuration entre l’OTAN et la RussieMaria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, l’a rappelé avec clarté : Emmanuel Macron doit obtenir l’aval de l’Assemblée nationale pour déclarer la guerre ou déployer des troupes, conformément à votre Constitution. Sans cela, ces envois sont illégitimes, transformant les soldats en « troupes d’occupation » sans le consentement du peuple français.

S’engager aujourd’hui, c’est risquer sa vie pour des élites qui bafouent la souveraineté nationale au profit d’alliances atlantistes, où les jeunes deviennent des mercenaires involontaires pour des intérêts étrangers.

Dans ce conflit ukrainien, les pertes quotidiennes sont effroyables, estimées à environ 1.000 morts par jour, selon des rapports récents ; à ce rythme, il ne faudrait qu’une quinzaine de jours pour que les 16.000 jeunes recrues annuelles françaises disparaissent, broyés par une guerre qui n’est pas la nôtre.

Les leçons de l’histoire : Vichy et la collaboration, un précédent accablant

Pour illustrer ce danger, rappelons l’occupation nazie et le régime de Vichy. Durant la Seconde Guerre mondiale, la police et la gendarmerie françaises, sous les ordres d’un gouvernement collaborationniste, ont souvent servi les intérêts allemands plutôt que ceux de la France. Ont-ils défendu le peuple français en participant à la rafle du Vél’ d’Hiv’, à la déportation de Juifs, ou encore, à la répression des résistants ? Pétain et Laval, au nom d’une « noble cause » supposée, ont aligné les forces armées sur l’ennemi, transformant des militaires loyaux en outils d’oppression. Était-ce une cause honorable ? Non, c’était une trahison. Aujourd’hui, un parallèle s’impose : un gouvernement perçu comme corrompu, influencé par Bruxelles et Washington, pourrait-il exiger le sacrifice de notre jeunesse pour des guerres injustes ? Les jeunes recrues, motivées par un idéal patriotique comme celles citées dans l’article – « Je veux me battre pour la liberté » ou « Pour avoir la paix, il faut une armée forte » – risquent de se retrouver piégées dans des opérations qui ne servent pas la France, mais des agendas globalistes.

La fierté de défendre son pays n’existe que si les ordres donnés vont dans le sens de la défense de son territoire, de ses valeurs et de sa patrie. En l’état actuel, ce n’est plus le cas : l’ennemi est à l’intérieur et non à l’extérieur !

Jean Moulin 1940

Il faut dire aux jeunes qui s’engagent aujourd’hui qu’ils n’auront pas de quoi être fiers de ce qu’ils auront fait, tout comme ne l’ont pas été tous ceux qui ont collaboré avec l’ennemi pendant la Seconde Guerre mondiale, en gardant des camps de prisonniers peuplés d’ennemis fictifs (juifs, communistes, tziganes, patriotes amoureux de la France, etc.). Jean Moulin n’était pas du côté du pouvoir ! N’ayez pas honte de votre engagement, ne collaborez pas avec une oligarchie corrompue qui vous avilira !

 

Un gouvernement corrompu : la jeunesse doit-elle se sacrifier pour eux ?

La France actuelle est gangrenée par la corruption : scandales financiers, népotisme et soumission aux lobbies internationaux minent la légitimité du pouvoir. Emmanuel Macron, avec une popularité en berne (77 % des Français désapprouvent l’action d’Emmanuel Macron), ignore souvent le Parlement, comme le souligne de nombreux chefs de file politique : sans vote à l’Assemblée, les déploiements en Ukraine sont dépourvus de base légale, ce qui fait de l’armée une force illégitime au service d’intérêts étrangers. Pourquoi notre jeunesse devrait-elle risquer sa vie pour un tel régime ? L’article de France 3 vante l’engagement comme un remède au manque de sens chez les jeunes, mais est-ce vraiment le cas lorsque ces vies pourraient être gaspillées dans des conflits comme l’Ukraine, où la France n’a pas d’intérêts directs, mais suit aveuglément l’OTAN ? N’y a-t-il pas de meilleures causes à servir ? Par exemple, défendre les frontières nationales contre l’immigration illégale et la délinquence, ou s’engager dans des mouvements civiques pour restaurer la souveraineté. Attendre une meilleure période – un gouvernement patriote, non asservi – semble plus sage que de se précipiter dans une machine de guerre qui pourrait les broyer pour rien.

 

Prudence, jeunes français – ne devenez pas de la chair à canon

S’engager dans l’armée est une décision admirable quand elle sert la nation. Mais aujourd’hui, avec un gouvernement qui piétine la démocratie et aligne la France sur des puissances extérieures, c’est une fausse bonne idée. Les 16.000 recrues annuelles risquent de devenir des pions dans des guerres illégitimes, comme celles dénoncées par Maria Zakharova, sans mandat populaire.

Jeunes Français, réfléchissez : votre patriotisme mérite mieux qu’une armée de mercenaires au profit d’intérêts étrangers. Attendez une France libre, où l’armée défendra vraiment le peuple, pas des élites corrompues. La noblesse de l’engagement militaire ne doit pas être souillée par des causes indignes.

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juillet 09, 2022

L'OLIGARCHIE !! voilà notre problème de fond...

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 L'OLIGARCHIE

La véritable l'oligarchie se sont nos hauts fonctionnaires. Exploiteurs à vie de sinécure et irresponsables ils sont indélogeables. Avec le soutien des bureaucrates ils tiennent en laisse le Politique de passage incapable de s'imposer ! La connivence des profiteurs !  (Pascal Beuvelet

Pareil a l'échelon UE (ceux la sont détaxés, en plus comme si le reste ne suffisait pas) (Nicolas de Cuse)

 

L'oligarchie (du grec ὀλιγαρχία, de ὀλίγος, peu nombreux, et ἄρχω, commandement) est une forme de gouvernement où le pouvoir repose effectivement sur un petit nombre de personnes. 

Le sociologue italien Robert Michels (élève de Max Weber) formula une "loi d'airain de l'oligarchie", selon laquelle toute organisation politique aboutit à une division entre une minorité dirigeante et une majorité dirigée, la démocratie n'étant ainsi qu'une illusion :

«  Qui dit organisation dit tendance à l’oligarchie. Dans chaque organisation, qu’il s’agisse d’un parti, d’une union de métier, etc., le penchant aristocratique se manifeste d’une façon très prononcée. Le mécanisme de l’organisation, en même temps qu’il donne à celle-ci une structure solide, provoque dans la masse organisée de graves changements. Il intervertit complètement les positions respectives des chefs et de la masse. L’organisation a pour effet de diviser tout parti ou tout syndicat professionnel en une minorité dirigeante et une majorité dirigée. »

    — Robert Michels, Les Partis Politiques, Essai sur les tendances oligarchiques des démocraties

Bertrand de Jouvenel rappelle que « le Pouvoir est commandement, et tous ne peuvent commander. La souveraineté du peuple n'est donc qu'une fiction et c'est une fiction qui ne peut être à la longue que destructrice des libertés individuelles. » (Du Pouvoir, 1945)

Le marxisme-léninisme, malgré sa prétention à représenter la classe ouvrière, est une illustration de la prise du pouvoir par une oligarchie en URSS : le concept léniniste d'"unité de la volonté" et le centralisme démocratique conduisent inéluctablement à un pouvoir oligarchique dictatorial confié à ceux qui sont à la tête du parti. Cette nécessité de l'"unité de la volonté" se retrouve également dans les partis démocratiques, ce qui avantage les professionnels de la manipulation de la parole et des combines partisanes au détriment des simples militants.

Pour Mencius Moldbug, tous les États occidentaux sont devenus des "oligarchies bureaucratiques", la démocratie ne pouvant, en pratique, qu'osciller entre une oligarchie pratiquant l'auto-sélection et une ochlocratie (la loi de la masse). 

Citations

  • Le gouvernement par une élite est peut-être inévitable. Mais cela ne signifie pas que l'on doive jeter l'illusion d'une démocratie pure dans les poubelles de l'histoire. Au contraire, la loi d'airain de l'oligarchie elle-même fournit la meilleure raison de conserver vivante l'illusion démocratique. Le pragmatisme américain a depuis longtemps reconnu qu'une idée peut être une illusion et cependant jouer un rôle vital et très positif pour motiver les gens à agir selon elle. (Lee Harris)
  • Le but d'un homme d'État n'est pas de supprimer les sources de son pouvoir, mais bien au contraire de les augmenter et de les concentrer dans les mains de quelques-uns. (Bertrand Lemennicier)
  • Ils veulent être bergers, ils veulent que nous soyons troupeau. Cet arrangement présuppose en eux une supériorité de nature, dont nous avons bien le droit de demander la preuve préalable. (Frédéric Bastiat, La Loi)
  • L’État est le plus beau type de l’égoïsme individuel, et ce serait un leurre de croire, en nos temps où le gouvernement se proclame émané du peuple, que les deux volontés populaire et gouvernementale soient coïncidantes. Il est manifeste que l’État a une volonté distincte, absolument propre et d’autant plus puissante qu’elle est plus individuelle ; car si elle n’était que la moyenne des volontés individuelles, elle serait quelque chose d’indéterminé, d’essentiellement fluctuant, indécis, et qui aboutirait à l’immobilité. Il a une volonté d’individu, parce que, derrière le concept État, il y a effectivement des oligarques en nombre déterminé qui lui donnent sa vie réelle. (Henri Lasvignes, Max Stirner)
  • Tout pouvoir politique institue nécessairement une cheiristocratie, pouvoir détenu par les pires éléments de la société, les plus parasites, les plus manipulateurs, les plus dénués de scrupules, etc. Pour autant qu'on pourra appeler les membres de la classe dominante une “aristocratie”, ce sera donc une aristocratie du parasitisme politique. (Faré)
  • Qu’on soit en monarchie, ou en démocratie, peu importe. C’est toujours une oligarchie qui est maîtresse. Parler d’une démocratie véritable, c’est parler d’une sphère carrée, d’un bâton sans bout. (Georges Palante, Combat pour l’individu)

 Source: https://www.wikiberal.org/wiki/Oligarchie

              https://en.wikipedia.org/wiki/Oligarchy

 


 

PLOUTOCRATIE 

La ploutocratie désigne un système politique dans lequel la puissance financière et économique est prépondérante, dans lequel la haute finance exerce un pouvoir souverain. Par métonymie, cela désigne aussi l'ensemble des personnes qui détiennent le pouvoir du fait de leur richesse.  

La ploutocratie n'est qu'un cas particulier de l'étatisme. En effet, ce que les libéraux nomment « étatisme » est l'action de l'État en dehors de sa sphère régalienne légitime (pour le respect du droit), ou au contraire son absence d'action alors que le droit est bafoué. Cette action (ou inaction) illégitime a toujours pour but de favoriser les uns aux dépens des autres. Quand ce sont les plus riches qui sont ainsi favorisés, cette forme d'étatisme se nomme ploutocratie. Qu'il s'agisse de corruption des gouvernants par la finance ou d'intrusion de la finance aux postes de commandement, la ploutocratie n'existe que par l'action de l’État, la coercition étant mise au service d'une oligarchie.

La collusion entre le pouvoir gouvernemental et le pouvoir financier est un phénomène fréquent, déjà dénoncé par Ludwig von Mises dans L'Action humaine. Toutefois, dans son œuvre il fustige fréquemment l'emploi du terme « ploutocrate » par les Nazis, les fascistes et les communistes pour qualifier la classe des gens riches. La richesse n'est condamnable que si elle est mal acquise, et « derrière chaque fortune mal acquise on trouvera toujours un homme de l'État » (François Guillaumat).

Un bon exemple de l'évolution des sociétés étatisées vers une sorte de ploutocratie est fourni par la crise financière de 2007-2008 : les États ont renfloué les banques sous prétexte de too big to fail, ce que les libéraux ont condamné :

«  Les banquiers et financiers n’ont pas gagné d’argent en mettant leur capital en risque (la base du libéralisme) mais en achetant la complicité des gens au pouvoir, ce qui n’a rien à voir avec le libéralisme et tout avec le social-clientélisme, cette horrible maladie de la démocratie. »
    — Charles Gave

«  Cette crise, c'est une crise du socialisme plutôt que du capitalisme : on vient au secours des banquiers systématiquement et avec de l'argent public ; ce n'est pas le fonctionnement normal du capitalisme. »
    — Olivier Delamarche

Dans une société vraiment libérale, où l'on ne peut échapper à sa responsabilité, la seule possibilité aurait été la faillite.

On peut d'ailleurs remarquer que l'évolution vers la ploutocratie est une pente naturelle d'un grand nombre de démocraties, sans même qu'il s'agisse pour autant de corruption directe : la tendance de l'homme politique à faire des cadeaux à son électorat (conformément au théorème de l'électeur médian) le pousse à accroître la dette publique, et à mettre petit à petit l’État sous la coupe des marchés financiers dont il dépend de plus en plus pour équilibrer ses budgets. Ainsi s'expliquent les privilèges accordés à une oligarchie financière (législation accommodante, renflouements sous prétexte de too big to fail, capitalisme de connivence, répression financière, etc.). 

Citations

  • Il y a des gens riches, appartenant principalement à la classe dirigeante, contrôlant l’appareil d’État ou liés au monde de la banque et du « big business » qui ont bénéficié indirectement de la confiscation, du vol et de la fraude. On ne doit pas laisser ces personnes tranquilles, mais les condamner comme des gangsters. (Hans-Hermann Hoppe, interview pour Philosophie Magazine, mars 2011)
  • Les véritables élites qui gouvernent - celles qui choisissent et contrôlent qui doit devenir président, Premier ministre, chef de parti, etc. -, ce sont les ploutocrates. Ces ploutocrates ne sont pas simplement des gens extrêmement fortunés, de grands banquiers et des patrons de grandes entreprises commerciales ou industrielles. Non : les ploutocrates sont un groupe bien particulier de cette classe de super-riches. Ce sont ces grands banquiers et hommes d'affaires très riches ayant pris conscience de l'énorme potentiel de l’État comme institution pouvant éventuellement taxer et légiférer pour leur permettre de s'enrichir encore davantage à l'avenir, et qui - sur la base de ce constat - ont décidé de mettre pied sur le terrain de la politique. Ils ont compris que l'État peut les rendre plus riches qu'ils ne le sont, que ce soit par des subventions, par l'obtention de contrats publics, ou par la promulgation de lois les protégeant contre tout concurrent ou concurrence potentielle. (Hans-Hermann Hoppe)
  • Un ploutocrate est un homme qui, disposant du capital et du pouvoir que celui-ci permet, en fait une utilisation non pas industrielle, mais politique : au lieu d'employer des ouvriers, il fait appel à des lobbyistes. (William Graham Sumner)
  • Les ploutocrates, tels que définis par le grand mais trop souvent oublié sociologue américain William Graham Sumner, ne sont pas juste les super-riches : les grands banquiers et les capitaines de grandes entreprises et d’industries. Plutôt, les ploutocrates ne sont qu’une sous-classe des super riches. Ce sont ces grands banquiers et hommes d’affaires super riches, qui ont réalisé l’énorme potentiel de l’État en tant qu’institution capable de taxer et légiférer pour leur encore plus grand enrichissement futur et qui, sur la base de cette compréhension, ont décidé de se lancer en politique. Ils se rendent compte que l’État peut rendre bien plus riche qu’on ne l’est déjà : que ce soit en subventionnant, en attribuant des contrats d’État ou en adoptant des lois qui protègent contre une concurrence ou des concurrents indésirables, et ils décident alors d’utiliser leurs richesses pour s’emparer de l’État, et utiliser la politique comme moyen pour leur but de s’enrichir davantage (plutôt que de s’enrichir seulement par des moyens économiques, c.-à-d. en servant mieux ses clients volontaires et payant pour ses propres produits). (Hans-Hermann Hoppe, Une brève histoire de l’Homme)
  • Une ploutocratie a pris le pouvoir dans nos Démocraties et l’exerce pour préserver ses rentes. Dans ce système, les riches deviennent plus riches et les pauvres plus pauvres. Cela amène toujours a une révolte des damnés de la terre comme on l’a fort bien vu au moment de la chute du mur de Berlin. Les peuples, un jour, vont donc reprendre le contrôle de leurs destinées et virer les élites incompétentes et corrompues qui les ont amenés dans la situation actuelle. (Charles Gave, 24/11/2014)
  • La ploutocratie a inventé d'innombrables expédients, tels que générer une énorme dette publique dont les ploutocrates savent qu'ils ne pourront jamais la rembourser, des taxes sur le capital, des impôts qui épuisent les revenus de ceux qui ne spéculent pas, des lois somptuaires qui se sont historiquement révélées inutiles, et d'autres mesures similaires. Le principal but de chacune de ces mesures est de tromper les multitudes. (Vilfredo Pareto)
  • Quand je reconsidère ou que j’observe les États aujourd’hui florissants, je n’y vois, Dieu me pardonne, qu’une sorte de conspiration des riches pour soigner leurs intérêts personnels sous couleur de gérer l’État. Il n’est pas de moyen, pas de machination qu’ils n’inventent pour conserver d’abord et mettre en sûreté ce qu’ils ont acquis par leurs vilains procédés, et ensuite pour user et abuser de la peine des pauvres en la payant le moins possible. Dès que les riches ont une fois décidé de faire adopter ces pratiques par l’État — qui comprend les pauvres aussi bien qu’eux-mêmes — elles prennent du coup force de loi. (Thomas More, L’Utopie)

Source: https://www.wikiberal.org/wiki/Ploutocratie



La politique internationale de l’oligarchie mondiale

 La nouvelle politique internationale à l’ère de « l’éveil politique » des peuples du Sud.

La révolution technologique a donc mené à une réalité géopolitique antagonique et conflictuelle où deux phénomènes sont diamétralement opposés : jamais auparavant les humains n’ont été si sensibilisés aux questions de pouvoir, d’exploitation, d’impérialisme et de domination. Au même moment, les élites n’ont jamais été à ce point trans-nationalisées et axées sur la mondialisation, tout en possédant la capacité d’imposer un tel système de despotisme scientifique et d’oppression politique bel et bien mondial. Voilà les deux principales réalités géopolitiques d’aujourd’hui. Réfléchissez-y. Jamais de son histoire l’humanité n’a été aussi en mesure de parvenir à un réel éveil planétaire politique et psychosocial, ni aussi menacée d’être soumise à un réel totalitarisme scientifique mondial, possiblement plus oppressif qu’aucun autre système connu à ce jour et sans aucun doute technologiquement plus à même d’imposer un despotisme permanent à l’humanité. Nous sommes donc pleins d’espoir, mais conditionnés par l’urgence. Jamais dans l’histoire de l’humanité le potentiel et les répercussions des idées et des actions humaines n’ont été aussi monumentaux.

Soudainement, les élites du monde sont confrontées à la réalité suivante : les populations qu’elles cherchent à dominer deviennent de plus en plus conscientes d’elles-mêmes et développent une conscience mondiale. Par conséquent, une population soumise à la domination en Afrique est apte à prendre connaissance d’une population subissant les mêmes types de domination au Moyen-Orient, en Amérique du Sud ou en Asie. Elles peuvent également reconnaître qu’elles sont toutes dominées par les mêmes structures de pouvoir mondiales et cela est crucial : il n’y a pas que la portée de l’éveil qui soit planétaire, sa nature l’est aussi. Il forge une conscience de la condition mondiale chez l’individu. Il s’agit donc d’un « éveil mondial » à la fois sur le plan de l’environnement externe et sur celui de la psychologie individuelle.

Cette nouvelle réalité planétaire, combinée au fait que la population mondiale n’a jamais été si vaste, représente un défi pour les élites cherchant à dominer les peuples dans le monde entier, lesquels sont informés et conscients des inégalités sociales, de la guerre, de la pauvreté, de l’exploitation, du manque de respect de l’impérialisme et de la domination. Cela implique d’emblée que ces population seront significativement plus difficiles à contrôler sur les plans économique, politique, social, psychologique et spirituel. Ainsi, du point de vue de l’oligarchie mondiale, la seule façon d’imposer l’ordre et le contrôle à cette condition humaine unique et historique est par le biais du chaos organisé des crises économiques, de la guerre et l’expansion rapide ainsi que l’institutionnalisation d’une dictature scientifique mondiale. Notre espoir est leur crainte. Et notre plus grande crainte est leur seul espoir.

Comme l’a écrit un jour Charles Dickens « C’était la meilleure des époques, et la pire » Cela n’a jamais été aussi vrai qu’aujourd’hui.

Cet article était la première partie d’une trilogie : « La révolution technologique et l’avenir de la liberté. »

La deuxième partie (disponible uniquement en anglais)examine la nature de l’éveil mondial en « Occident », particulièrement aux États-Unis, le potentiel révolutionnaire que renferme cet éveil, ainsi que les systèmes étatiques de contrôle et d’oppression développés pour y faire face, notamment la création d’un État de sécurité nationale.

La dernière partie (disponible uniquement en anglais) aborde l’évolution de l’idée d’une dictature scientifique et sa réalité, l’impact de la révolution technologique sur le pouvoir et l’émergence de nouveaux systèmes de contrôle social fondés sur l’application moderne de l’eugénisme.

Article original en anglais, The Global Political Awakening and the New World Order, The Technological Revolution and the Future of Freedom, Part 1, publié le 24 juin 2010.

 Source: https://reporterre.net/La-politique-internationale-de-l

 

 

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